@article{oai:glim-re.repo.nii.ac.jp:00005527, author = {堀内, ゆかり and Horiuchi, Yukari}, issue = {20}, journal = {言語 文化 社会, Language, Culture and Society}, month = {Mar}, note = {application/pdf, Babar est-il colonialiste? La réponse est ambiguë : “Certains critiques ont vu dans Babar une apologie du colonialisme, d’autres au contraire une satire de l’imaginaire colonial français.” (Carine Picaud). Pour répondre à cette question, nous avons choisi de prendre Tintin (Tintin au Congo) pour critère, dont le colonialisme est explicite, évident et même exagéré. C’est à la demande de son mentor, l’abbé Wallez, directeur du Vingtième Siècle qu’ Hergé a dessiné Tintin au Congo pour “susciter de l’enthousiasme des jeunes Belges”. Dans cet article, d’abord nous examinons de plus près les deux versions de Tintin au Congo : la version noir et blanc publiée en 1930 dans le petit Vingtième, reproduite dans Archive Hergé et celle en couleur Casterman publiée en 1946, qui est la version actuelle. Ensuite, nous discutons quelques motifs communs à la trilogie Babar (Histoire de Babar, le voyage de Babar et le roi Babar) et à Tintin au Congo : la chasse, les éléphants (leurs défenses) ainsi que la description des indigènes. Pour conclure, nous situons ces oeuvres dans le temps. Elles ont été publiées dans l’entre-deux-guerres et, 1931, année où paraît Babar, est celle de l’Exposition coloniale de Paris. Tintin et Babar, ces deux héros ont survécu grâce à leurs qualité littéraires et esthétiques.}, pages = {79--96}, title = {「ぞうのババール」と植民地主義 : 『タンタンのコンゴ探検』と比較して}, year = {2022}, yomi = {ホリウチ, ユカリ} }