@article{oai:glim-re.repo.nii.ac.jp:00004810, author = {岡村, 正太郎 and Okamura, Shotaro}, issue = {27}, journal = {学習院大学人文科学論集, Gakushuin University studies in humanities}, month = {Oct}, note = {application/pdf, Paul claudel invente une forme de vers à laquelle il donne le nom de verset. Les fondements du verset sont le « surnaturel », le « souffle », l’« esprit », l’« inspiration ». Le conception poétique vise à l’expression du surnaturel. Après avoir découvert le théâtre japonais, Claudel y puise certains éléments qu’il adapte à sa propre versification, aussi bien dans ses poèmes que dans son théâtre. La base en est la « prosodie », basée sur le « rythme », semblable à la parole et au cri de Tayû, qui est le choeur, du Bunraku et du Kabuki. La première partie de cet article concerne les termes de « surnaturel », de « souffle », d’« esprit » et d’« inspiration », tels que nous les définissons dans le texte claudélien. Dans la deuxième partie, nous examinons la relation entre la prosodie de Claudel et le théâtre traditionnel japonais. Finalement nous relisons les « Réflexions et propositions sur le vers français » à la lumière des textes écrits par Claudel pendant son séjour au Japon.}, pages = {211--237}, title = {ポール・クローデルの詩についての試論}, year = {2018}, yomi = {オクムラ, シヨウタロウ} }