@article{oai:glim-re.repo.nii.ac.jp:00002750, author = {高橋, 由季子 and Takahashi, Yukiko}, issue = {21}, journal = {学習院大学人文科学論集, Gakushuin University studies in humanities}, month = {Oct}, note = {application/pdf, Dans les années 1830, un nouveau ballet s’est créé et a reçu un accueil chaleureux. On l’appelle le ballet romantique. Bien que sa valeur artistique soit appréciée, les danseuses étaient l’objet du désir sexuel et avaient la faveur du public masculin. Ainsi donc, il lui était facile de sortir avec elles ? Ça dépend d’elles. En général, il était facile de sortir avec les danseuses pour les danses de groupe, mais il était difficile avec les premières danseuses. Selon Théophile Gautier, les premières danseuses n’étaient qu’un beau rêve et elles sont littéralement devenues une étoile. Des portraits des vedettes se sont vendus comme des petits pains. A cette époque-là, comme la photographie ne s’était pas encore généralisée, ces portraits se sont diffusés en lithographie. Pour vérifier que les danseuses étaient l’objet du désir sexuel, nous avons éclairci la situation exacte les danseuses pour les danses de groupe à travers les peintures de Pierre-Auguste Renoir et Edgar Degas. Enfin, d’après Gautier, c’était possible de diviser les premières danseuses en deux groupes : les danseuses incarnées de l’angélisme et celles de paganisme. En plus, c’était possible de diviser toutes les danseuses entre l’image d’épouse vertueuse symbolique et l’image de prostituée. Ces classifications des danseuses étaient toutes pareilles auxquelles la société patriarcale avait créé les images de la sainte et de la prostituée. L’Opéra de Paris a préparé les images variées féminines idéales pour le public masculin au profit du redressement des finances.}, pages = {185--235}, title = {ロマン派バレエにおける女性ダンサーのイメージについて}, year = {2012}, yomi = {タカハシ, ユキコ} }